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The Day the Earth Stood Still [Pv Sid]

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Michelangelo
Michelangelo
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Date d'inscription : 01/09/2009

The Day the Earth Stood Still [Pv Sid] Empty
MessageSujet: The Day the Earth Stood Still [Pv Sid] The Day the Earth Stood Still [Pv Sid] I_icon_minitimeJeu 14 Jan - 20:52



The Day the Earth Stood Still [Pv Sid] Kat16 The Day the Earth Stood Still [Pv Sid] Sam29
"inutile de lui tirer dans la tête, elle n'a toujours pas de cerveau"
Halo 3



    Cette histoire se déroule à notre époque, loin des affrontements que l’université à connu sous les querelles grotesques d’un petit couple détonnant. Aujourd’hui l’un d’entre eux à laisser sa place à un tout autre étudiant, toujours un play boy mais qui n’a en aucune manière son pareil pour faire pleurer les filles. Il est caractériel, grincheux et a un sens particulier de l’honneur et de l’amitié poussé à son paroxysme. Parker n’aura vécu que pour lui laisser un héritage dont il ne voulait peut-être pas, lui donnant une réputation d’affreux jojo auprès de ceux qui connaissaient le rupin vicelard.
    Grande gueule mais plus doux et conciliant, OConnell avait pourtant bien mal débuté cette année universitaire, se faisant des ennemies cela va s’en dire et que très peu d’amis. Il occupait la chambre de ce play boy disparu soudainement sans aucune raison, un dénommé Abrams dont il ne connaissait absolument rien mis à part les quelques notes et affaires qu’il avait laissées derrière lui. Quel foutoir. Même la femme de ménage, d’un haussement d’épaule, lui avait expliqué posément qu’il n’y avait rien à faire et qu’elle ne pouvait faire de miracle. Doucement mais surement, Marcus rangeait jour après jour les vestiges d’une vie passée à courir après toutes les jupes de Providence. Des surprises, çà, il en avait eu de bonnes et particulièrement dans le faux plafond de la pièce. D’habitude, les universitaires y dissimulaient bouteilles d’alcool et produits illicites. Apparemment cet Abrams préférait y planquer des photos, O’Connell en était d’ailleurs resté sur le cul de part leur nature. Il les avait aussitôt remise en place et pourtant trouvait toujours moyen d’y jeter un coup d’œil lorsque la curiosité se faisait ressentir ou la solitude.

    Dans les couloirs mais aussi sur le campus, il avait cependant déjà repéré de nombreuses protagonistes ce qui se traduisait toujours d’un sourire béat en les croisant, un bonjour timide dissimulant l’irrésistible envie de leur mettre sous leur nez les dites photographies en les pointant du doigt telles des pestiférées. Les pauvres… Il était ainsi parvenu à mettre un nom sur chaque tête, chaque corps dénudé, excepté pour une seule : Celle au papillon dans le creux des reins. Obnubilé par cette quête, il s’était empressé d’assister à chaque cours de natation dans l’espoir d’entrevoir le petit insecte butiner l’orée d’une croupe admirablement galbée mais la jeune femme lui glissait toujours entre les mains. Et plus le temps passait, plus Marcus passait pour un pervers. Ce petit jeu devait finir au plus vite. Hélas le playboy ne baissait pas facilement les bras, ne se laissant jamais prendre par la lassitude et c’était pour cela qu’il trouvait toujours de nouvelles combines encore plus osées les unes que les autres. La dernière en date était après un cours de sport où il avait essayé de rendre visite aux demoiselles dans leur vestiaire personnel. Cela traduit par un échec puisqu’une certaine Casey Grinfield, loin d’une puritaine outrée par la vue d’un homme en serviette, lui avait violemment arraché le seul linge recouvrant son corps avant de le fouetter avec en retour. La marque ne disparue qu’une semaine après…
    La solution à ce problème se dévoila à ses yeux par le plus grand hasard, lors d’un repas pris à même le terrain de foot, par un temps dégagé et dont on pouvait ressentir l’intimité du soleil vous caresser partiellement le visage. Malgré cette douce brise printanière, certaines des filles n’avaient revêtu qu’un simple petit top qui ne dissimulait plus grand-chose une fois les demoiselles assises ou baissées. C’est un mardi 12 janvier que le papillon réapparu.

    A présent il était temps de rendre à qui de droit les photos compromettantes et ce dans la discrétion la plus totale. Faire chanter les filles avec était naturellement envisagé mais certaines bénéficieraient de sa clémence et en tout particulier les fameuses delight avec lesquelles il se voyait très mal faire quoique ce soit. 20h30, assez tard pour que les cours soient terminés et bien trop tôt pour sortir en boite, Marcus choisit de se faufiler discrètement chez les Sigma, preuve à l’appui. Dissimulé sous un burnous sombre et capuchonné, il rentra à l’intérieur de Goddard House, l’antre de la bête. Il demanda au passage son chemin à une fille raide défoncée sur le seuil qui ne lui répondit que par des grognements inaudibles, à croire qu’il se trouvait chez des sous-développés du bulbe. La chambre ne fut cependant pas bien difficile à trouver et il cogna par trois fois à la porte mais il n’eut qu’un long silence pour toute réponse. Décidément. Il lui restait la possibilité de glisser sous la porte par le contre jour l’enveloppe mais le doute persistait toujours. Il valait mieux les donner en mains propres. Il ouvrit légèrement la porte quand il entendit une voix dans le couloir s’écrier : Alpha . Merde ! Plus vite qu’il n’était apparu, il s’engouffra à l’intérieur et referma la porte derrière lui, le cœur battant à mile à l’heure. Il faisait sombre, des lampes d’ambiances éclairaient faiblement les hauteurs de la chambre tandis qu’une douce odeur de Marie-j flottait dans les airs.
    Seul le bruit d’une déferlante de fraicheur animait la pièce, la douche dans la salle annexe promulguait délice à la résidente de ces lieux . Que faire ? Attendre sagement la fin et passer pour un voyeur lors de son retour au risque d’être éjecté du campus pour violation ou déposer les clichés et partir comme un voleur au risque de l’affoler de plus belle ? Des deux solutions aucune n’avait vraiment de coté positif mais ceci dit, il opta pour la seconde. Il s’approcha du lit et y déposa méticuleusement les précieux souvenirs pour s’en retourner vers la porte de sortie lorsqu’il fut attiré par un bien étrange tableau. C‘était une photo sur le rebord d’une commode, légèrement déchirée et pourtant ne datant que de l’année dernière. Des pleures en avaient dépeint les couleurs naturelles. On y apercevait vaguement la silhouette d’un homme tatoué de dos face à une vitre comme celle de cette chambre. Naturellement porté par la curiosité, il la prit entre ses doigts et la retourna pour lire la petite note à la lueur d’une des lampes, un billet doux aux vues des mots soigneusement choisis mais sans conteste sincères. O’Connell fut si amusé par ce qu’il voyait qu’il ne fit plus aucun cas des bruits l’environnant, relisant attentivement chaque mot n par un en ricanant. *Merde comment on peut être aussi con pour écrire des trucs pareils....*
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The Day the Earth Stood Still [Pv Sid]

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