AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-45%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go /1 To
1099.99 € 1999.99 €
Voir le deal

Partagez|

jjjjjjffff

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Michelangelo
Michelangelo
Messages : 519
Date d'inscription : 01/09/2009

jjjjjjffff Empty
MessageSujet: jjjjjjffff jjjjjjffff I_icon_minitimeVen 27 Nov - 9:29

Tourmentée encore par les gémissements qui s’échappent du smartphone,  je prolonge sur lui mes attaques, je les souhaite même toujours plus virulentes, j’essaie de lui montrer comme il a réussi à me blesser, et je me fiche que ça puisse dépeindre que j’y suis trop attachée à sa personne, et dans mon cœur, putain, ça résonne. Je l’assaille du mieux que je le peux, et à mesure que les secondes défilent, je ne peux pas nier le fait qu’elles sont de moins en moins tumultueuses mes frappes et ça en devient presque futile. Ses mains viennent alors m’arrêter, et sur lui je relève le regard, lequel va s’accrocher à ses prunelles que de cette manière, je n’ai jamais observé. C’est un mélange cuisant, de haine et de désolant. Pourtant je cherche à me raccrocher à ce bleu qui peu à peu devient même douloureux. Quand s’ajoute à l’équation sa voix, que je n’aime plus tant que ça. « Mais qu'est-ce que ça peut faire? Tu simulais. » Je ne sais plus, je ne sais pas, non, je ne simulais pas, et je voulais qu’il me prenne comme on ne l’avait jamais fait avant ça. Je croyais, oui, que ça se résumait qu’à ça. Puisqu’à personne je ne veux promettre autre chose, et je m’en veux de toutes ses pensées que je peux avoir, si à l’eau de rose. Ce n’est pas comme si je n’étais pas au courant, qu’en lui, il y a ce piquant, cette audace … Mais au lieu de me plaire aujourd’hui, ça me fait mal et j’aimerai tellement que ce soit fugace. Voilà, ce que ça peut me faire, cependant j’imagine que c’est pour lui, de bonne guerre. « Puis tu l'as l'enregistrement maintenant. » C’est vrai, je l’ai, mais t’en vouloir, c’est plus fort que moi. Ça ne change pas ce que tu as fait, et je ne sais même pas comment l’expliquer. Ses doigts desserrent leur emprise sur moi, et j’en soupire, ne sachant pas quoi rajouter de plus. J’aurai donc dû me contenter de ça ? D’avoir l’enregistrement, et de me réjouir du fait qu’il ne l’a pas utilisé contre moi. J’observe son corps s’éloigne de moi, cette façon qu’il a de me délaisser, à répétitions alors que j’ai l’étrange impression de lui courir après. Encore, j’en viens à ne plus me supporter.

Il s’éloigne dans le salon, et je reste un peu statique sans trop savoir comment me comporter à présent, je devrai partir surement. Mais mes pieds semblent ancrés dans le sol, et pas du tout décidés à le laisser. J’examine ses gestes, sa façon de chercher dans le tiroir, et d’en sortir une cigarette, vice que je ne lui connais que trop peu, de ce fait, je ne conçois qu’à présent combien la situation doit lui aussi le contrarier. Oui, je réalise une nouvelle fois, comment je peux être douée pour ne penser qu’à moi. « J'ai voulu l'effacer...  » Mais vouloir et faire ne semblent pas s’additionner dans nos esprits de détraqués. Et mon regard se contente de son dos, toujours stoïque, toujours patiente, afin de savoir pourquoi ou comment on en est arrivés là. Je le devine cherchant un briquet, tandis que moi, j’essaie de garder la tête hors de l’eau en pensée. J’ai comme la certitude que je vais étouffer, que je ne suis pas faite pour ressentir toutes ces choses-là. Et je l’accuse de ces démons qu’il a su infiltrer en moi, comme un poison. Il trouve son feu, s’assoie en biais, de façon muette me permets finalement de rester, allume sa nicotine. « Mais j'l'ai pas fait. Tu sais pourquoi? » Enfin je retrouve la force de bouger, peut-être parce qu’il vient de me questionne, et ne me place plus comme un pion dans la situation, alors je vais vers la porte d’entrée, que je ferme afin qu’on arrête de servir aux voisins une scène qui est de piètre qualité. En avalant difficilement ma salive et serrant ma mâchoire, je dois prendre sur moi, pour ne pas cracher ma prochaine phrase, persuadée qu’on va tenter d’être adulte après avoir ressemblés à des gamins incapables de se parler. Le problème de mon malaise ? C’est que je sais pourquoi il ne l’a pas fait, c’est juste que sur le moment ça ne m’a pas heurté, maintenant, c’est comme si je prenais en plein visage la vérité. Alors que je parlais d’adulte, à la sincérité, je réalise que je préfère de beaucoup opter pour l’aversion que peut m’inspirer tout ce bordel. « A l’évidence j’avais mal évalué ta perversité. » Pour peu, je tenterai bien un sourire, comme lorsqu’encore on pouvait parler entre nous d’amitié, mais j’ai toujours en tête l’enregistrement stoppé depuis un moment déjà. Cela ne m’importe pas ce qu’il pense, ce qu’il croit, ce qu’il ressent envers tout ça, pour moi.  J’ai bien trop d’arrogance mesquine qui contrôle chaque infime partie de ma personne.

Mes iris jonglent de sa cigarette à son regard, le jauge et le sonde, je la comprends son expression, beaucoup trop rapidement et je le vois presque tout autant vite arriver le moment de la révélation. Ce genre d’instant que personne ne peut arrêter. La fumée s’échappe de ses lèvres, et je clos mes paupières en me disant que peut-être je pourrai l’éviter. Même si je sais, que ce n’est plus la peine d’essayer. On y est. « Parce que dans quelques temps, tu m'auras oublié avec l'autre. Moi pas. » C’est amer, c’est brûlant. Ca force mon cœur à s’accélérer, c’est moche, putain, Clay, c’est laid. Combien de fois je vais devoir le répéter ? C’est comme une rengaine, un Dies irae qui sans arrêt s’enchaine. J’en ai perdu la faculté de parler, je me contente de chercher à quel moment j’ai bien pu foirer pour qu’on en arrive à ce point-là.  Je me repasse en boucle ces mois, ceux qu’on a passés ensemble et compte en silence le nombre de fois où j’ai fait des choses qu’en général je ne fais pas. Constatant avec aigreur que ce n’est que le résultat de ma propre faute tout ça. Sa phrase elle signifie trop et pas assez à la fois, je suis ses clefs du regard, qu’il escampe juste comme ça, qui me disent qu’il ne partira pas, et quand je m’apprête à lui demander de clarifier les choses, il écrase son cylindre incandescent, et ris de côté, étrangement, à moi, l’envie de rire, elle m’est passée, mais on ne doit pas avoir le même point de vue sur le comportement à adopter, pour changer. « Mais ça doit bien te faire marrer. J'dois pas être le premier.  » Si. Et tu ne l’as même pas compris. Ce n’est pas comme si je partageais ma vie avec n’importe qui. Des hommes que j’ai côtoyé, t’es le premier à connaitre ma façon de fonctionner. Et t’es le seul, aussi, à me tenir un discours du genre depuis que je suis fiancée. Au cas où tu ne l’aurais pas remarqué, je ne suis pas facile à apprécier. C’est d’ailleurs ce qui n’en finit pas de me perturber, mes barrières sont complétement factices, bordel, ça rajoute une couche à mon supplice. Une question vrille encore à l’intérieur de mon esprit, me demande comme un refrain, pour quoi je suis énervée dorénavant. Quand soudain ses gestes prennent alors un tout autre tournant, l’anneau qu’il a retiré, non pas parce que je lui ai fait mal, mais parce qu’à quelqu’un j’appartiens déjà, le fait que j’ai pu simuler …. Comme si notre nuit n’avait rien signifié, comme si je me contentais de mentir mieux que ce que je suis douée pour respirer. L’enregistrement qu’il m’a rendu, l’abandon de tout ce qui lui restait encore de moi. Ma gorge serrée je n’ose pas articuler. J’essaie d’abord de taire ce qui fait que je ne peux me permettre de passer outre les prières de mon père. « Je n’ai pas envie de rire. » Impassible, je prononce sans même le regarder, regarder les meubles qui ornent son salon me semble beaucoup plus approprié. Finalement je me trouve une échappatoire, un dernier recours, une possible voie de secours. « Tu sors à Amy les mêmes discours ? » Je regrette d’être revenue, j’ai des remords sur un peu tout, et pourtant, il y a toujours cette pointe de jalousie dans ma voix lorsque je prononce ce prénom-là. Je ne sais pas pourquoi, mais je recule d’un pas, comme si ça allait changer quelque chose de me tenir plus loin de lui à présent. J’imagine ce mariage, cette chose dont je n’ai jamais voulu, que j’ai toujours remis en question en le liant très intimement avec Omnicom, et non pour un garçon. Je me remémore toutes ces fois, où il m’a traité de sorcière et durant lesquelles on s’est dit qu’on ne se supportait pas. Je croise mes bras contre moi, accusant la stupeur de ne pas savoir comment me sortir de la situation. Choquée d’établir mentalement le fait que je n’ai pas envie de le perdre mais que je ne peux rien lui donner. Alors après quelques secondes – de trop – dans ce silence pesant, à évaluer toutes les solutions que je pourrai apporter à notre présente question, je me permets de pencher pour une réaction que par cœur, je connais. Je feins l’indifférence, me cache derrière mon arrogance. « Tu sais, le genre je vomis des fleurs et des « je pourrai jamais t’oublier » ? » Et pas qu’à elle d’ailleurs, je dois rappeler le nombre de filles que j’ai vu défiler avant qu’il ne prône la fidélité à la pétasse que je lui ai foutu dans les pieds ? Je n’ai presque pas envie qu’il réponde, sachant la discussion blasée bien trop sérieuse pour deux personnes qui étaient en train de se disputer. D’ailleurs je hausse les mains juste avant de les rabaisser en synonyme de « laisse tomber » en soupirant et prête à partir car je n’ai plus d’arme à ajouter dans la partie, je me perds à murmurer. « Comme si j’avais envie de me marier. » J’abandonne n’ayant rien – si ce n’est tout – d’une Madone.
Revenir en haut Aller en bas
https://tmnt.forum-actif.net
Michelangelo
Michelangelo
Messages : 519
Date d'inscription : 01/09/2009

jjjjjjffff Empty
MessageSujet: Re: jjjjjjffff jjjjjjffff I_icon_minitimeVen 27 Nov - 13:01


How you like me now  
Annalynne & Clay /
« Je n’ai pas envie de rire. » Pourtant je la trouve plutôt comique la situation et elle qui prend toujours un malin plaisir à m'enfoncer devrait y trouver son bonheur non? J'en rigole encore nerveusement d'ailleurs, d'avoir été aussi con pour m'abaisser à lui faire une telle révélation. Le revers est d'ailleurs plutôt cinglant, comme un coup de poignard, lorsqu'elle se permet de douter de ma sincérité. J'en viens à regretter encore plus ma déclaration sur ce que pour elle je ressens.  « Tu sors à Amy les mêmes discours ? » Mes yeux viennent subitement à la rencontre des siens ce qui plante le décor. Évidemment, il est de notoriété publique que je suis un grand romantique qui cherche à garder ses conquêtes systématiquement auprès de lui après les avoir foutues dans son lit... Et quand bien même je le serai, Amy est la seule et l'unique que j'ai voulu voir dans mes draps plus de deux nuits consécutives. Alors de quel droit se permet-elle de le cataloguer ainsi?  Non, c'est juste une attaque purement gratuite et sans la moindre justification. Il me faut alors bien plus qu'une clope pour modérer mon humeur et décide donc d'aller du coté du frigo, le pas lourd, pour en tirer ce dont elle va surement se moquer.  « Tu sais, le genre je vomis des fleurs et des « je pourrai jamais t’oublier » ? » Continue donc...Tu n'en as pas déjà assez rajouté. Ma paume vient s'écraser sur la table quand de l'autre j'amène jusqu'à mes lèvres le goulot translucide avant d'ajouter totalement cynique " Dit celle qui a couché alors qu'elle était déjà engagée, belle preuve de fidélité. Il commence bien votre mariage." Et je lève mon verre, ou plutôt ma bouteille," A votre santé", à sa perversité, tare qu'elle a osé me reprocher quelques minutes plus tôt. Une seule gorgée et je la regarde gesticuler silencieusement puis s'éloigner avant de claquer le cul de la bouteille sur le buffet. " Putain... Ca te crèverait que d'avouer que tu tiens à quelqu'un?! "  Et maintenant que j'ai de nouveau son attention, je me permets une autre provocation, m'avançant vers elle en délaissant mon bien là où je l'ai  " C'est vrai. J'suis pas certain qu'on t'ai appris à faire preuve d'humilité " Alors regarde bien Annalynne, tu pourrais tirer un enseignement de ce qu'il va suivre puisqu'au point où j'en suis, ce n'est plus un acte ____ qui me fera reculer.


Une fois à son niveau, je jette un œil par dessus son épaule pour entrevoir où ma main s'égare, frôlant sa hanche jusqu'à atteindre son but final. D'un geste sans arrière pensée, mes doigts extirpent le téléphone de son short pour le moins serré et romps cette promiscuité d'un pas en retrait. Je cherche alors, effleurant de mon pouce, les traits sérieux, à lancer quelque chose, passe d'une application à l'autre, les yeux rivés sur l'interface qui ne cesse de changer jusqu'à en comprendre la complexe fonctionnalité. Voilà... j'y suis.  Il ne m'aura fallu que quelques secondes pour écrire un bref texto à ce numéro qu'elle n'a jamais osé glisser dans ses favoris, celui d'Amy, et de lancer l'application dédiée à la photographie. Une dernière fois je la fixe elle, anxieux à l'idée qu'elle pourrait ne pas comprendre jusqu'où je souhaite en venir. " Tu veux te venger? "pour ce que j'ai pu dire ou faire, pour ce que j'ai pu enregistré bien que j'en ai toujours été le seul spectateur. Alors je lui remets fermement son bien entre les mains et d'un naturel, retire ce que j'ai sur le dos pour me camper devant elle et souffle irrité " J'vais t'en donner l'opportunité ". Si je me suis mis presque à nu devant elle, ce n'est pas juste par désir bien que j'espère que cette vision trouva grâce à ses yeux ou réveillera de bons souvenirs. Les stigmates tatouées sur mon dos feront preuve de mon identité sur cette photographie et peu importe la jeune femme avec qui je vais me montrer complice, l'acte en lui même sera suffisamment déplaisant pour amorcer une rupture avec sa destinatrice. Mais le but premier n'est pas là. Si je ne représente rien à ses yeux, il est peu probable qu'Annalynne poursuive les hostilités. Je la vois mal jouer les vu ce que ce geste implique. Briser ma vie sociale serait un grave manque de respect surtout si c'est pour me planter après.

Ne la lâchant pas des yeux je tombe à genoux, le souffle lourd et serrant des mâchoires au moment de l'impact, douloureux rappels de ce qu'il s'est passé dans tantôt dans son appart. Et à mesure que je réalise l'importance de ce que je m'apprête à faire, encore une fois à me rabaisser de façon volontaire, hésitant à poser mes mains là où elle ne semble plus vouloir me le permettre, la douleur s'amenuise pour ne plus être bientôt qu'un vague souvenir. " T'inquiètes, j'vais tenter de simuler " encore amer de son aveu quant à mes aptitudes à la jouir. Une dernière fois, j'hésite à la toucher avant de prendre le temps de soulever légèrement son tee-shirt, juste ce qu'il faut pour que je puisse y poser les lèvres, crevant d'envie de défaire ce qui interfère plus bas avec mes envies passagères. Puis mes doigts s'enlisent progressivement là où je m'étais pourtant jurer par orgueil de ne plus aller, échancrant lentement la taille de son short pour venir explorer des mes lèvres le creux de sa
Revenir en haut Aller en bas
https://tmnt.forum-actif.net
Michelangelo
Michelangelo
Messages : 519
Date d'inscription : 01/09/2009

jjjjjjffff Empty
MessageSujet: Re: jjjjjjffff jjjjjjffff I_icon_minitimeLun 14 Déc - 14:18


I'll come back for you ... or not
 
Annalynne & Clay / Octobre 2015
Son regard fixe n’accorde aucun pardon à la déloyauté dont elle me sait coupable, fautif d'avoir voulu rendre cette nuit interminable, je plaide coupable. Mais la magie de ma muse opère et mes intentions se font plus dociles au gouté de cette pulpe charnue, ressens ses ongles, possessifs et intrusifs, marquer ma peau mise à nue et libérer de ce fait insidieusement en moi, dans une progression savante, des instincts inconnus déchainant mes sens. Mon emprise sur son sein tendu se fait de plus en plus exclusive à mesure qu'elle diabolise son désir de me voir - je le sais - brisé.
Je n'ai pas fini mon œuvre qu’avec délicatesse elle détourne mes lèvres de leurs audaces, pour se saisir de ses mains mon visage. Un instant, j'ai flairé le danger, au souvenir désagréable de sa gemme à sa main anciennement scellée et eus un réflexe soudain, juste une contraction de la mâchoire, rien de très anodin. Annalynne m'invite donc à la retrouver elle et le gout de ses baisers. Et alors que je crois encore apprécier la saveur de ses lèvres elle se veut rebelle, sa langue insoumise parcourant les miennes en un ballet qui se veut explicite puisque quelques minutes plutôt, c'était la mienne qui parcourait les valons cheminant vers son intime. Le message est passé et non content d'en avoir saisis l'attente, je ferme les yeux et ricane amèrement lorsque d'un pincement insidieux mon amante se fait ombrageuse.
« T’es pas en train de filmer ? » Et tu remues une fois de plus le couteau dans cette plaie béante que tu affectionnes par-dessus tout voir saigner. " Non ", je n'ai plus l'envie de la voir se cabrer pour de telles futilités. Toujours épanché sur ses valons, il m'est cependant possible de jeter un œil par delà le couloir pour d'un sourire mesquin souffler entre deux caresses aimantes " Plus sans ton accord " assuré que ce ne sera pas la dernière fois qu'elle s'offrira à moi.

touché torride d’une croupe audacieuse que j'entraine vers des plaisirs plus libertins, la portant jusqu'à la table




Cette attirance étrange qui aimante nos peaux, j’aime à la préserver dans la trame du tissus gorgé de son parfum. Et pourtant d'un dernier regard, je me permets de recueillir entre mes doigts les coutures, un ordre échappé à son oreille: " Laisse moi terminer ce que j'ai commencé ". Et elle sait à quel point il me tient à cœur que le travail soit bien fait. Aussi audacieuse qu’insolente, elle se cambre pour que short déboutonné et tanga glissent le long de ses jambes fuselées avec un naturel que je trouve obsédant, cachant encore à ma vue de ses cuisses serrées l'objet de mes attentes. Son regard émeraude plongé dans la noirceur du mien déclinant sous tant d’effronterie, elle semble se jouer de mon désir, de mon phantasme à utiliser son corps comme . Pour répondre à l'affront qu'elle me fait subir, mes doigts viennent déboucler ma ceinture qu'une fois enroulée j'appose brutalement sur le plan de table, réclamant de ce fait indécent, abandon et dévouement… Je ne suis pas homme violent mais plutôt de ceux qui d'ordinaire n'aiment qu’une fois pour ne garder en souvenir que le désir et le plaisir de la première fois. Aujourd'hui, je ne suis plus de ceux-là. La main sur mon ceinturon, j'esquisse un sourire pernicieux lorsqu'il est temps de passer au sérieux, " Tu vas devoir m'obéir ". Elle décroise ses jambes et contenté, embrasé par un accord charnel qui se permet tous les raffinements - parce que de toi Annalynne Malcolm, je veux être le seul amant - je viens contre la table m'appuyer et me fourvoie le long de cuisses entrouvertes, embrasse son galbe dans un effeuillage des plus téméraires.
Ses soupirs sont des invitations, me guident lorsque silencieusement elle m'offre à nouveau son interdit et ce doux parfum de femme offerte, mi soumise, mi dominatrice s’imprime alors dans mon esprit. D’une langue gourmande j'étanche ma soif à sa source, de ce nectar propice à la mettre aux abois, son sexe s'étant paré d'une belle teinte nacrée sous mes caresses et dont je me suis emparé. Je me contente la plupart du temps des frémissements saccadés de son corps, des ondulations langoureuses de son ventre et pourtant viscéralement, mes doigts viennent me chercher aussi,

« T’es pas en train de filmer ? »
 ,

Revenir en haut Aller en bas
https://tmnt.forum-actif.net

Contenu sponsorisé

jjjjjjffff Empty
MessageSujet: Re: jjjjjjffff jjjjjjffff I_icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas

jjjjjjffff

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
TMNT :: Archives topics-